D’en bas à gauche jusqu’en haut à droite : Adrien, Mathieu, Moi, Anais, Nicolas, Alexandre et Orlane derrière l’appareil photo. Oui, vous l’avez remarqué, je sortais toujours avec les mêmes personnes …
Comme d'habitude, nous partons à deux voitures et l'une des voitures arrivent à faire 100 kms de trop ... heuresement qu"il y a des shawarmas aux mouches mortes et aux poulet pas cuits sont là pour que l'on mange à notre faim !
Alors pourquoi y’a-t-il des monastères à côté du Caire. Le guide du routard « Egypte » va nous aider à en savoir plus.Au 4ème siècle, Saint Macaire décida d’aller vivre dans le désert en ermite. Au fur et à mesure, ses disciples, dont le Saint Bishoi, décident d’organiser une vie en communauté. A la fin du 5ème siècle, l’Egypte abrita près de 5000 monastères dont 50 dans le Wadi Natrun. Nous en avons visité 2. Je vais faire la description que d’un seul : Le monastère de Saint-Bishoi.
Nous visitons un peu ce monastère qui nous étonne par son architecture de dessin animé:
La communauté monastique de Saint Bishoi regroupe 1000 moines dont 160 dans ce monastère ! Non Nicolas, il ne faut pas les énerver en tirant les cloches :
Nous choisissons de prendre un guide pour cette visite … et quel guide ! il nous amuse, nous éduque, nous fait rêver ! Il nous apprend la double utilité des toits en forme de dôme :
1) Cela fonctionne comme un climatiseur lorsqu’il fait chaud, la pièce intérieure est fraîche.
2) A l’intérieure, en se plaçant sous le dôme et en trouvant le bon endroit, il est possible de se parler face à face de manière très distincte sans élever la voie.
Nous nous amusons beaucoup avec lui. Nous montons tout en haut du monastère en sa compagnie. Il nous raconte des histoires de bédouins à qui on jetait de la nourriture et que les moines ne laissaient pas entrer …. Bref, il divague …
La vue est sympa de là haut :
La visite se termine, nous faisons une petite photo de groupe sans sauté :
Il est temps de rentrer au Caire et de retourner au travail ! Sur le chemin du retour, nous croisons une meute de dromadaire en rage dont j'arrive à m'échapper tout juste.